• Accueil
  • Spécial Temps des Fêtes
  • Activités à faire
  • Spectacles à voir
  • Musique
  • Gastronomie
  • Mode & beauté
  • Tourisme
  • Lecture et films
  • Produits à découvrir
  • Déco
  • À propos
  • Collaboratrices Meve et cie | Découvrez notre équipe
  • Joindre Meve et cie | Collaborations & Médias
    • Email
    • Facebook
    • Instagram
    • TikTok

Meve et cie

Un blogue sur les dernières tendances par Marie-Eve Lanthier

Lecture et films

Avant le crash : une finale déroutante

14 novembre 2025

Avant le crash

Un texte de Renée Charpentier, collaboratrice

La fin qui frappe sans pitié

La série Avant le crash s’est conclue sur une note à la fois déroutante, triste et d’une grande solitude. Fidèle à sa signature, cette finale a mis en lumière la brutalité du destin — celui qui te rattrape toujours, quoi qu’on fasse. « Crache en l’air, et ça te retombe dessus » : une métaphore amère, mais parfaite pour résumer le sort des personnages.

La seule qui semblait encore avoir droit au bonheur, à un avenir possible, n’est plus. Son entourage l’a littéralement « tuée » — pas par le geste, mais par leurs malveillances, leur hypocrisie et cette soif de pouvoir qui a tout corrompu. Une fin tragique, mais cohérente avec l’univers sombre et lucide que Avant le crash a toujours exploré.

Un discours qui frappe au cœur

Le discours de Florence, porté avec une intensité bouleversante, résonne comme un écho aux désillusions d’une génération brûlée par la performance. Un cri du cœur sur le vide que laisse une vie où tout semble calculé, où le succès devient une prison.

Personnellement, j’ai adoré l’écriture conjointe de Kim Lizotte et Éric Bruneau. Leur regard sur la société contemporaine est d’une justesse tranchante. Le rythme est soutenu, la tension palpable, et la réalité s’y déploie dans toute sa splendeur… parfois cruellement malsaine. Peu de séries québécoises parviennent à peindre avec autant de vérité les fissures émotionnelles de la réussite.

Une conclusion sans rédemption

Avant le crash se termine donc sans rédemption, mais avec une honnêteté désarmante. Une œuvre lucide, implacable, qui nous renvoie à nos propres contradictions — et qui, longtemps après le générique, continue de faire écho.

Note : La mise en page de ce texte a été générée à l’aide de l’intelligence artificielle afin d’optimiser la structure et la lisibilité du contenu

À lire aussi : Avant le crash : une ultime saison sous haute tension

 

Tu as aimé cet article?

Inscrivez-vous à notre infolettre pour recevoir les dernières nouveautés en matière d'activités à faire, un resto à essayer, un spectacle à voir et bien plus encore!
Nous ne spammons pas !

Vérifiez votre boite de réception ou vos courriers indésirables pour confirmer votre abonnement à notre page!

Tu as aimé cet article?

Inscrivez-vous à notre infolettre pour recevoir les dernières nouveautés en matière d'activités à faire, un resto à essayer, un spectacle à voir et bien plus encore!
Nous ne spammons pas !

Vérifiez votre boite de réception ou vos courriers indésirables pour confirmer votre abonnement à notre page!

Previous:
« Ga-lé Aller » : Sam Breton en toute authenticité
Next:
Où vont les âmes – Première poignante à CinéMania
Design by SkyandStars.co

Copyright © 2025 · MEVE ET CIE, TOUS DROITS RÉSERVÉS