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Meve et cie

Un blogue sur les dernières tendances par Marie-Eve Lanthier

Lecture et films

Ma belle-mère est une sorcière : un nouveau Conte pour tous

28 septembre 2025

Affiche du film Ma belle-mère est une sorcière (2025)

Ma belle-mère est une sorcière : Un nouveau classique familial made in Québec

La tradition des Contes pour tous se poursuit avec Ma belle-mère est une sorcière, une production québécoise attendue qui remet à l’honneur le réalisme magique et l’humour intelligent. Réalisé par Joëlle Desjardins Paquette, ce long métrage de 80 minutes plonge petits et grands dans une aventure aussi touchante qu’envoûtante.


Une histoire pleine de mystère et d’émotions

Margot, 12 ans, est persuadée que la nouvelle conjointe de son père est… une véritable sorcière. Déterminée à sauver sa famille, elle se lance dans une enquête aussi drôle que mystérieuse, épaulée par Miss Dalloway, une spécialiste autoproclamée de l’occulte. Entre phénomènes étranges, humour bien dosé et émotions familiales, le film aborde avec finesse des thèmes universels comme la différence, l’acceptation et la séparation.


Une distribution brillante

Le film met en vedette Juliette Aubé dans le rôle de Margot, entourée de Marilyn Castonguay, Pierre-Yves Cardinal, Marc-André Leclair, Étienne Cardin, Mali Corbeil Gauvreau, Anaïs Céus, Lily Thibeault et Rémi Prévost. Une distribution intergénérationnelle qui contribue à créer un univers crédible et attachant.


Joëlle Desjardins Paquette : une réalisatrice inspirée

Connue pour son long métrage Rodéo (2023), la cinéaste montréalaise insuffle ici une signature sensible et poétique. Elle décrit le projet comme « un cadeau de création en or », mêlant humour, émotion et un soupçon de fantastique dans un univers ancré dans le réel.

Son approche du réalisme magique donne au film une saveur unique : les éléments surnaturels sont intégrés subtilement, sans effets tape-à-l’œil, pour stimuler l’imagination des enfants comme celle des adultes.


Un héritage cinématographique québécois

Troisième volet de la relance des Contes pour tous, après Coco Ferme et Mlle Bottine, ce nouveau film s’inscrit dans la lignée de grands classiques comme Bach et Bottine, La grenouille et la baleine ou La guerre des tuques. Ces films ont marqué des générations en traitant de sujets sérieux à travers le regard des enfants — et Ma belle-mère est une sorcière perpétue cette mission avec brio.

Que vous soyez nostalgiques des Contes pour tous ou à la recherche d’un film familial lumineux et intelligent, Ma belle-mère est une sorcière est une sortie à inscrire à votre calendrier cinéma !


📝 Info pratique – Ma belle-mère est une sorcière

  • 🎬 Titre : Ma belle-mère est une sorcière

  • ⏱ Durée : 80 minutes

  • 🧑‍🤝‍🧑 Genre : Famille / Conte pour tous

  • 📡 Distribution : TVA Films

  • 🍿 Au cinéma dès le 10 octobre 2025

 

Note : La mise en page de ce texte a été générée à l’aide de l’intelligence artificielle afin d’optimiser la structure et la lisibilité du contenu.

 

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Lecture et films

Nos Belles-Sœurs, une œuvre cinématographique incontournable de l’été !

12 juillet 2024

Un texte de Renée Charpentier, collaboratrice

Le film Nos Belles-Sœurs présente une interprétation nouvelle de la célèbre pièce de théâtre de Michel Tremblay. Contrairement aux attentes, il ne s’agit pas d’une simple comédie musicale, mais d’une œuvre riche en nuances et en émotions. Cette adaptation cinématographique parvient à se détacher de la pièce originale pour s’imposer comme une création autonome.

Créées il y a plus de 50 ans, les Belles-Sœurs de Michel Tremblay n’ont pas pris une ride. En portant à l’écran ce classique du théâtre québécois, René Richard Cyr, qui réalise ici son premier film, a su préserver l’essence de l’œuvre tout en y insufflant une touche de folie et de modernité, porté par un groupe d’actrices exceptionnelles. Comme dans la pièce originale, le film Nos Belles-Sœurs nous transporte dans le Montréal ouvrier des années 1960. Un beau matin, Germaine Lauzon (interprétée par Geneviève Schmidt), femme au foyer, apprend qu’elle a gagné un million de timbres-primes qui, espère-t-elle, lui procureront le bonheur. Pour célébrer cette bonne nouvelle et remplir ses livrets, elle organise un « party de collage de timbres » dans sa cuisine, elle convie sa sœur Rose (jouée par Anne-Élisabeth Bossé) ainsi que plusieurs amies et voisines.

Dès le début, le film utilise la couleur pour masquer la pauvreté et les drames sous-jacents des personnages, créant un contraste saisissant. La présence des hommes et des enfants ajoute une nouvelle dimension à l’histoire, enrichissant son spectre émotionnel. Le film explore également la quête du bonheur par la consommation, suggérant que cette course effrénée n’est pas la solution aux problèmes des personnages. Les thèmes abordés dans l’œuvre de Michel Tremblay résonnent encore fortement aujourd’hui.

Les émotions jaillissent de l’écran, transcendant les simples thèmes abordés. Guylaine Tremblay incarne de manière mémorable la jalouse en chef, tandis que pour sa première apparition devant la caméra, Ariane Moffat brille par son authenticité et son talent. Valérie Blais est également charmante dans le rôle de Lisette de Courval, une voisine qui s’efforce de bien parler, tout comme Anne-Élisabeth Bossé, déchirante dans le rôle de Rose, la sœur de Germaine, constamment mécontente de son mari (interprété par Guillaume Cyr).

Mention spéciale au duo Team White pour ses performances de danse, apportant une dimension artistique supplémentaire aux scènes. Je retiens notamment la superbe chorégraphie de groupe dans une fête foraine sur la chanson « J’ai-tu l’air de que’qu’un qui a déjà gagné que’qu’chose ? » et l’interprétation touchante de Mon vendeur de brosse, portée par Debbie Lynch-White.

Le final mystérieux, marqué par le mot « GRATIS », laisse place à diverses interprétations. Que signifie-t-il pour vous ? C’est une question que le film laisse ouverte, invitant chaque spectateur à réfléchir.

Les caméos de Denise Filiatrault et Michel Tremblay offrent un clin d’œil respectueux à l’œuvre originale et à ses créateurs, sans alourdir le récit.

Le destin de Linda est particulièrement poignant : deviendra-t-elle une Pierrette ou une Germaine ? Cette question centrale souligne les choix difficiles auxquels sont confrontées les femmes dans leur quête d’autonomie et de bonheur.

En conclusion, Nos Belles-Sœurs est une œuvre riche et complexe, explorant avec profondeur et authenticité la condition féminine. C’est un film qui transcende les frontières et les époques, célébrant la sororité, l’amitié et la quête du bonheur véritable.

 

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