Jeff Goldblum, acteur légendaire et pianiste passionné, était de passage à Montréal pour offrir une performance très attendue dans le cadre du Festival International de Jazz. Visiblement honoré, il s’est dit « ému, ravi et privilégié » de jouer au plus grand festival de jazz au monde, une scène qui réunit chaque été les plus grands noms du genre.
Accompagné de son groupe, le Mildred Snitzer Orchestra, qu’il a fondé il y a près de 30 ans, Goldblum a partagé en entrevue son profond amour pour la musique jazz, un amour né dans sa jeunesse, alors qu’il pianotait dans des lounges de Pittsburgh. À travers les décennies, il a su allier sa carrière d’acteur à sa passion pour le jazz, glissant même quelques morceaux de piano dans ses films cultes comme The Fly.
Sur scène, Goldblum ne se contente pas de jouer : il raconte, improvise, interagit avec le public, à l’image de son approche du jazz, qu’il compare volontiers à l’art dramatique. Pour lui, l’improvisation est le point de rencontre entre la scène et la musique, entre le cœur et le spectacle.
À Montréal, il n’en était pas à sa première visite. Il se remémore avec affection un passage au festival Juste pour rire il y a près de deux décennies. Et même si son emploi du temps l’obligeait à repartir vite pour un concert à Chicago, il n’a pas caché son envie de rester plus longtemps pour voir des artistes comme Samara Joy, Esperanza Spalding ou encore assister au concert hommage à Oscar Peterson.
Une chose est certaine : Jeff Goldblum n’est pas simplement venu jouer à Montréal, il y a laissé un peu de son cœur, en mode jazz.
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